L’Eglise synodale que le pape François appelle de ses vœux, est d’abord une Eglise de l’écoute, une Eglise où chacun a à apprendre de l’autre. Est-ce que l’Eglise, c’est-à-dire nous tous Peuple de Dieu, sait écouter les jeunes et accepte d’apprendre d’eux ? Un groupe de travail a initié une réflexion sur la place et la parole des jeunes. 

Propositions du groupe de travail

Mutualiser nos expériences
Nous avons évoqué des pratiques tout à fait pertinentes en matière de démocratie participative au sein de nos mouvements même si nous avons manqué de temps pour les expliquer vraiment, se les approprier et savoir comment les développer plus largement. Depuis la manière de rejoindre les jeunes là où ils sont jusqu’à notre manière de faire Église avec eux, autour d’eux, à partir d’eux, les chantiers sont immenses !

Retravailler le synode à la lumière des fruits du synode des jeunes qu’on a peut-être encore assez peu exploités
« Au Synode, il a été demandé de développer une pastorale des jeunes, capable de créer des espaces inclusifs, où il y aura de la place pour toutes sortes de jeunes et où se manifestera réellement que nous sommes une Église aux portes ouvertes ».
« Certaines propositions pastorales peuvent supposer un chemin déjà parcouru dans la foi, mais nous avons besoin d’une pastorale populaire des jeunes qui ouvre des portes et offre un espace à tous et à chacun avec ses doutes, ses traumatismes, ses problèmes et sa recherche d’identité, avec ses erreurs, son histoire, ses expériences du péché et toutes ses difficultés. »

Se reconnecter avec les enfants et les jeunes
La première urgence, serait peut-être de permettre au plus grand nombre, en Église, de connaître cette grâce d’être au contact et de goûter de la beauté de ce que les enfants peuvent vivre.